Jascha Heifetz  Mendelssohn Prokofiev Violin Concerto
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Analogue Productions Jascha Heifetz Mendelssohn Prokofiev Violin Concerto

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Munch dirige le Boston Symphony Orchestra

Jasha Heifetz (violon)

Enregistré en 1959.

Le Concerto pour violon en mi mineur, opus 64, second concerto pour violon composé par Mendelssohn, figure dans le répertoire pour violon de la musique romantique allemande du XIXe siècle comme une œuvre de première importance. Esquissé en 1838 il fut achevé en 1844.

Cette œuvre avait été offerte par Mendelssohn à l'illustre violoniste Ferdinand David1. Sa première interprétation eut lieu au Gewandhaus de Leipzig le 13 mars 1845 par David lui-même, sous la direction du compositeur danois Niels Gade car Mendelssohn, trop faible, ne pouvait assister à l'audition. Cependant, le 23 octobre de la même année, une nouvelle exécution sera redonnée, dirigée cette fois par son auteur, et toujours interprétée par David. Le succès fut immense.

Le concerto pour violon opus 63 en sol mineur, est le second concerto pour violon écrit par Sergueï Prokofiev. Il a été composé en 1935 (soit près de 20 ans après son premier concerto) et créé à Madrid la même année, le premier décembre, par Robert Soetens, son commanditaire, qui s'en était assuré le droit d'exécution pendant un an, avec l'orchestre symphonique de Madrid sous la direction d'Enrique Arbós.

La partition a été rédigée alors que le musicien faisait des aller-retours fréquents entre Paris et Moscou, peu avant de s'établir dans cette dernière ville en 1936. L'œuvre est contemporaine de son ballet Roméo et Juliette et son concerto pour violoncelle.

En raison de l'engouement de Jascha Heifetz pour cette œuvre, plus lyrique et classique que le Concerto pour violon n° 1 (on y retrouve l'esprit du ballet Roméo et Juliette, dont la période de composition est très proche), elle a longtemps été plus populaire auprès des musiciens.

Jascha Heifetz (nom complet : Iossif Robimovitch Heifetz) est né le 2 février 1901 à Vilnius et mort le 10 décembre 1987 à Los Angeles, est un violoniste russe naturalisé américain (1925).

Heifetz débute le violon avec son père Ruvin à l'âge de trois ans.

À neuf ans, il entre dans la classe du célèbre Leopold Auer (1845-1930). Dédicataire du concerto de Tchaïkovski (qu'il refusa), et professeur notamment de Nathan Milstein, Auer avait accordé de mauvaise grâce une audition à ce Wunderkind (il détestait viscéralement les prétendus enfants prodiges), mais il qualifia de « tour de sorcellerie » la prestation que lui offrit Heifetz (le 24e Caprice de Paganini, suivi du Concerto de Mendelssohn) et l'admit dans sa classe sur-le-champ.

Débute alors une fulgurante carrière, avec ses premiers enregistrements de disques russes à l'occasion de son dixième anniversaire (six de ces enregistrements ont été retrouvés, sous l'étiquette Gramophon Corporation et Sound Recording, après une éclipse de 90 ans), suivis de son premier concert le 30 avril 1911 à Saint-Pétersbourg. Ce concert, en plein air, réunit plus de 25 000 personnes. Il y eut un tel engouement que des policiers furent nécessaires pour protéger le jeune violoniste, tout juste âgé de 10 ans Suivront l'Allemagne, l'Autriche, et la Scandinavie.

Lorsque éclate la révolution russe, en 1917, Heifetz quitte la Russie avec sa famille au prix de grandes difficultés, et émigre aux États-Unis, suivant l'exemple de son professeur, et de la plupart de ses élèves. Ses débuts au Carnegie Hall, le 27 octobre de la même année, devant tous les grands du violon de son temps, sont restés longtemps dans les mémoires. L'illustre Fritz Kreisler, alors en disgrâce pour avoir été officier autrichien, dira à l'issue de la représentation: « On peut casser nos archets sur nos genoux ». De fait, Heifetz signait l'acte de naissance d'une nouvelle génération de violonistes au talent extraordinaire, celle de Nathan Milstein (1903), David Oïstrakh (1908), de Yehudi Menuhin (1916) et tant d'autres, au détriment de la « vieille école ».

Au début de sa carrière, il jouait sur un Carlo Tononi, un instrument italien du XVIIIe siècle avec lequel il avait fait ses débuts américains. Puis il a acheté, en 1922, le fameux David, un Guarnerius del Gesù (1742) qui avait appartenu à Ferdinand David, puis à Pablo de Sarasate et à August Wilhelmj. Il possédait aussi trois Stradivarius, le Piel (1731), le Dolphin (1714), qui a été aussi l'instrument de Mischa Mischakoff, et le Hochstein (1715) sur lequel avaient joué Joseph Joachim et Franz Kneisel. Le Tononi entra à sa mort en la possession de son assistante, Sherry Kloss. Le Guarneri de 1742 est la propriété de San Francisco Legion of Honor Museum, selon la volonté de Heifetz. (source wiki)

1LP 33t
réédition

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