Backing Vocals – Sharon Robinson
Backing Vocals, Guitar – Charley Webb
Backing Vocals, Harp – Hattie Webb
Bandurria, Laúd [Laud], Laúd [Archilaud], Twelve-String Guitar – Javier Mas
Drums, Percussion – Rafael Bernardo Gayol
Keyboards – Neil Larsen
Lead Guitar, Pedal Steel Guitar – Bob Metzger
Lead Vocals, Guitar, Keyboards – Leonard Cohen
Mastered By – Bob Ludwig
Music Director [Musical Director], Electric Bass, Double Bass [Stand-Up], Backing Vocals – Roscoe Beck
Enregistrement live réalisé à l'O2 Arena de Londres le 17 juillet 2008.
Une très belle image stéréo et un pressage silencieux pour tous les amoureux du chanteur canadien.
Vous ne connaissez pas très bien Leonard Cohen ?
Leonard Cohen naît dans une famille juive aisée d'ascendance polonaise en 1934, à Montréal, Québec. À l’adolescence, il apprend la guitare. Il formera plus tard un groupe d’inspiration country-folk.
Cohen s'installe aux États-Unis et commence à chanter dans des festivals folk. En 1966, Judy Collins fait de sa chanson Suzanne un hit. Cette chanson se réfère à Suzanne Verdal, l'ancienne épouse d'un ami personnel, le sculpteur québécois Armand Vaillancourt. Grâce à Judy Collins Leonard fait sa première apparition scénique à New-York le 30 avril 1967.
John H. Hammond fait signer Leonard Cohen à Columbia Records. Le premier album, Songs of Leonard Cohen, sort en 1967 et contient une version de Suzanne. L'album, empreint de noirceur, sera bien reçu par la critique. Songs from a Room, sort en 1969, il est considéré comme l'album classique de Leonard, avec les tubes Bird on the Wire, Story of Isaac et The Partisan, le premier titre de Leonard chanté en français.
Ce n'est qu'après la sortie du deuxième album de Cohen, Songs From a Room, en 1969, que le chanteur a accepté à contrecoeur de partir en tournée. Comme le raconte la biographie de 1996 d'Ira Nadel, Various Positions, la première apparition majeure de Cohen lors d'un rassemblement à New York pour le Comité national pour une politique nucléaire saine en avril 1967 ne s'était pas bien déroulée; il a joué quelques mesures de "Suzanne" et s'en est allé, effrayé par la peur de la scène, pour se laisser convaincre de revenir sur scène et de terminer la chanson par un public sympathique. Cohen a finalement cédé à la pression de faire une tournée en 1970 mais s'est limité à l'Europe, où sa popularité était beaucoup plus grande qu'aux États-Unis. Cohen reviendra en Europe de nouveau en 1972 et 1974.
Selon le livre d'Anthony Reynolds, Leonard Cohen: Une vie remarquable, Cohen demanda à Bob Johnston, qui avait produit Songs From a Room, de réunir le groupe et de jouer des claviers pendant la tournée: sur la tournée presque par accident ", Reynolds cite Johnston. "Il m'a demandé de le diriger; ensuite, il m'a demandé de rassembler son groupe. Pour me préparer, j'avais dit à Cohen: 'Mec, je vais te chercher le meilleur pianiste du monde.' "Non, je te veux", insista Leonard. Je protestai: "Je ne peux pas jouer du piano. Je peux me débrouiller, mais je ne peux pas jouer, et tu as d'excellents musiciens ici. Ce sont des gens merveilleux." "Soit tu viens jouer, soit je ne vais pas." Fut la réponse de Cohen. Je pensais: "Bon Dieu, je ne vais pas rater ça. Bon, on a commencé. Je viens de jouer du piano, de la guitare et de l'orgue, peu importe. Je ne pouvait pas très bien jouer, mais il ne pouvait pas très bien chanter. " Cohen est soutenu par un groupe d'influence country de taille moyenne surnommé The Army, qui comprend le guitariste Ron Cornelius, le guitariste / violoniste Charlie Daniels et la chanteuse "Jennifer Warren", qui deviendra bientôt la célèbre Jennifer Warnes et un interprète populaire des chansons de Cohen. S'adressant à Mojo en novembre 2001, Cohen a déclaré à propos des chanteuses qui l'avaient soutenu en concert: "J'ai besoin d'elles. Je pense que ma voix est meilleure quand je suis quelque peu obscurci par le son de gens qui savent chanter. Personnellement, quand j'écoute mes chansons, je suis toujours plus à l'aise lorsque ma voix est entourée d'harmonies, ce qui pour moi me ferait naturellement penser à la voix féminine. J'ai besoin d'entendre des harmonies pour pouvoir juste trouver le ton. " En 2009, Cohen expliqua plus en détail lors d'une interview à l'émission Q: "j'ai été très influencée par les voix féminines ... J'aime ces chansons qui ont cette sensation. Ce sont les chansons des années cinquante. Je voulais aussi reproduire des sons. De plus, ma propre voix me semblait si désagréable quand je l'écoutais que j'avais vraiment besoin de l'adoucissement de la voix des femmes derrière moi. "
Side 1
Dance ME to the End of Love
The Future
Ain’t No Cure for Love
Bird on the Wire
Side 2
Everybody Knows
In My Secret Life
Who by Fire
Hey, That’s No Way to Say Goodbye
Side 3
Anthem
Introduction
Tower of Song
Suzanne
The Gypsy’s Wife
Side 4
Boogie Street
Hallelujah
Democracy
I’m Your Man
Side 5
Recitation
Take This Waltz
So Long, Marianne
First We Take Manhattan
Side 6
Sisters of Mercy
If It Be Your Will
Closing Time
I Tried to Leave You
Whither Thou Goest